Ce test a pour objectif d'aller aux points importants et de vous orienter plus efficacement vers les informations qui correspondent le mieux à votre niveau de connaissance du monde des logiciels libres.
En effet le logiciel libre n'est pas forcément gratuit. Il peut également être vendu comme n'importe quel autre logiciel tant que la licence du logiciel est respectée.
Bien que les logiciels libres de droit soient également libres, la plupart des logiciels libres ne sont pas libres de droit mais rélève réellement du droit d'auteur. Ces logiciels n'appartiennent non pas à personne mais bien à leurs auteurs !
Les développeurs de logiciels libres ne sont qu'à 10% des universitaires. Plus de 70% d'entre eux sont des développeurs et plus de 15% des étudiants.
Le copyleft c'est le fait d'autoriser la copie et la modification en incluant l'obligation que les versions dérivées accordent les mêmes droits que l'oeuvre originelle.
En anglais «free software» signifie littéralement logiciel libre et non logiciel gratuit ! Un logiciel gratuit, ou graticiel se dénomme freeware en anglais.
Encore peu répandu il y a quelques années, les logiciels libres ont littéralement envahit l'espace public ! Utilisés lorsque vous allez sur le web par l'intermédiaire du logiciel Apache qui totalise plus de 60% des serveurs ou par le navigateur web Mozilla Firefox utilisé par 15% des utilisateurs. La suite bureautique OpenOffice.Org est massivement déployé dans les grandes administrations dans de nombreux pays et notamment dans la gendarmerie française. Mais également les logiciels pour le web comme MySQL, PHP, SPIP, DotClear...
Les développeurs de logiciels libres travaillent souvent en collaboration entre eux. Refuser la contribution d'un tiers est mal perçu. De plus il n'existe pas vraiment de hierarchie explicite, souvent un mainteneur du projet et des contributeurs.
La grande force du développement du logiciel libre réside dans la loi dite de Linus: «Étant donné suffisamment d'observateurs tous les bugs sautent aux yeux» et celle-ci dépends fortement de la disponibilité du code source et à l'origine de la grande réactivité des logiciels libres (ex: problème de sécurité).
Développer un logiciel libre ne signifie pas être forcé d'accepter toute modification par un tiers. En effet l'auteur principal garde la maîtrise du logiciel qu'il diffuse. Cependant il est tout à fait possible de diffuser un logiciel dérivé qui inclue des modifications refusés par l'auteur.